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Nouveaux visages en sciences

Huit nouveaux professeurs viennent grossir les rangs de la Faculté.

26 novembre 2015 à 16 h 11

Mis à jour le 2 décembre 2015 à 8 h 12

Mathieu Frenette, Hanika Rizo, Clarence Simard, Luc-Alain Giraldeau, doyen de la Faculté des sciences, Hugh Thomas, Marie-Jean Meurs et Félix Chénier. Tegwen Gadais et Stéphane de Souza n’apparaissent pas sur la photo.
Photo: Jean-François Hamelin

La Faculté des sciences a accueilli récemment huit nouvelles recrues qui s’ajoutent à un corps professoral fort de plus de 200 membres, répartis dans six départements: chimie, sciences biologiques, informatique, sciences de la Terre et de l’atmosphère, mathématiques, sciences de l’activité physique.  

Hugh Thomas (Département de mathématiques), détenteur d’un doctorat de l’Université de Chicago, est le nouveau titulaire de la Chaire de recherche du Canada en algèbre, combinatoire et informatique mathématique. Il mène ses recherches en combinatoire algébrique. La combinatoire est cette branche des mathématiques qui s’étend des mathématiques pures jusqu’à des domaines plus appliqués, (informatique théorique, théorie des langages, des automates et des codes, physique statistique).

Détentrice depuis 2012 d’un doctorat de l’Université Blaise-Pascal, en France, Hanika Rizo (Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère) s’intéresse à la formation et à l’évolution de la Terre primitive, à la géochimie isotopique et aux systèmes radioactifs de courte période. Elle est membre du Centre de recherche en géochimie et géodynamique (GEOTOP).

Mathieu Frenette (Département de chimie) a obtenu un doctorat en chimie de l’Université d’Ottawa en 2008. Son domaine de recherche se situe à l’interface de la chimie analytique et de la chimie physique-organique. Ses travaux concernent plus particulièrement le processus de dégradation de matériaux organiques et biologiques et les réactions d’oxydation.

Le développement de nouvelles technologies en biomécanique, en particulier l’étude biomécanique de la propulsion en fauteuil roulant manuel, est au centre des recherches de Félix Chénier (Département des sciences de l’activité physique). Il a complété, en 2012, un doctorat en génie, technologies de la santé, à l’École de technologie supérieure (ÉTS).

Son collègue Tegwen Gadais (Département des sciences de l’activité physique), détenteur d’un doctorat en psychopédagogie de l’Université Laval, s’intéresse, pour sa part, à l’éducation à la santé et à l’éducation physique. Le développement international et le développement humain font aussi partie de ses champs de recherche.

Les recherches de Marie-Jean Meurs (Département d’informatique) portent sur la fouille de données, les données massives, l’apprentissage automatique, le Web sémantique et la bio-informatique. Après un doctorat en informatique à l’Université d’Avignon portant sur l’étude des modèles probabilistes pour la compréhension du dialogue humain/machine, la professeure a poursuivi ses recherches au Centre de génomique structurelle et fonctionnelle de l’Université Concordia avant de rejoindre l’UQAM.

Clarence Simard (Département de mathématiques) détient un doctorat de l’Université de Montréal. Il s’intéresse aux mathématiques financières, à la théorie de l’arbitrage et aux stratégies de couverture.

L’évolution géologique, stratigraphique et structurale des roches hôtes est au cœur des activités de recherche du géologue Stéphane de Souza (Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère), qui a fait ses études de doctorat à l’UQAM.